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phane Colas (CLP) - Aujourd'hui à 07:00 - Temps de lecture : 1 min
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Chaque année, Dominique met plus de deux mois à mettre en place ses illuminations. Photo Stéphane Colas
Chaque année, Dominique met plus de deux mois à mettre en place ses illuminations. Photo Stéphane Colas

Samedi en fin d’après midi rue de la Patouse à Nanton, la maison et les jardins illuminés de Dominique Guyet, ont eu droit à la visite du père Noel pour la grande joie des enfants et des curieux. Grâce à l’association des parents d’élèves des écoles du RPI du Val de Grosne, Le chemin des écoliers, les enfants ont pu profiter des illuminations de la maison de Dominique Guyet mais aussi pour jouer et admirer toutes les mises en scène créées dans chaque parcelle de jardin. « Depuis deux mois j’installe plus de 130 guirlandes sur et autour de ma maison. Je prends soin de créer un lieu dédié à la magie de Noël. » Explique Dominique. Pour l’occasion le Père Noël a répondu présent à l’invitation du Chemin des écoliers pour la grande joie des enfants. La restauration et la buvette sur place étaient assurées par l’association et en partenariat avec l’Amicale des Nantonnais.

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Mayotte : les secours toujours à la recherche des personnes disparues
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Une semaine après le passage du cyclone Chido, qui a fait 35 morts et plus de 2 500 blessés à Mayotte selon le bilan provisoire communiqué par le ministère de l'Intérieur, les secours poursuivent leurs recherches dans les décombres des bidonvilles, rapporte TF1, samedi 21 décembre.

La course contre la montre continue à Mayotte. Une semaine après le passage dévastateur du cyclone Chido, les secouristes tentent toujours de retrouver d'éventuels survivants, samedi 21 décembre. Le bilan provisoire de la catastrophe naturelle s'élève à 35 morts et plus de 2 500 blessés, selon les chiffres du ministère de l'Intérieur, mais il pourrait être bien plus lourd car plusieurs centaines de victimes pourraient être retrouvées dans les décombres des bidonvilles.

Au nord de Mamoudzou, dans le quartier de Majicavo, une femme cherche les enfants handicapés dont elle s'occupe tous les jours. "Depuis le cyclone, on n'a pas de nouvelles d'un certain nombre d'entre eux", confie-t-elle à TF1. "Comme le téléphone et les communications ne passent pas, on va aller directement sur le terrain", explique-t-elle. Dans ce bidonville, l'un des plus grands de la capitale mahoraise, de nombreux logements et infrastructures ont été détruits par le cyclone. Il faut donc tout reconstruire.

Des zones difficiles d'accès

Le travail des secours est particulièrement difficile car ces derniers n'ont pas accès à toutes les zones reculées. De nombreuses routes sont toujours bloquées. "Il faudra dégager tous les endroits. Beaucoup de lieux sur l'île n'ont pas encore été reconnus", explique Willy Guérin, membre des pompiers de l'urgence internationale, ce samedi sur France 2. "Il faudra encore quelques semaines voire quelques mois pour avoir un vrai bilan définitif", détaille-t-il. La préfecture a demandé aux communes sinistrées par le cyclone Chido de recenser toutes les personnes portées disparues.